Truffe A Vendre : Comment faire de la prospection en BtoB ?
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작성자 Johnny 댓글 0건 조회 50회 작성일 24-10-22 22:51본문
Et il le regarda d’une telle manière, que Martinon, fort ému, ne comprit point d’abord la plaisanterie. Théodose avait été obligé de comprimer avec rigueur les fréquentes séditions des grandes villes : il fut sur le point de faire massacrer les habitants d'Antioche; il fit égorger 7000 habitants de la ville de Thessalonique qui s'était révoltée : pour le punir de ce cruel emportement, S. Ambroise lui interdit pour 8 mois l'entrée de l'église de Milan; Théodose se soumit à la pénitence, et obtint son pardon par un repentir sincère. Il avait insulté ce prince en détruisant sa ville natale, Zapetra, en Syrie : celui-ci se vengea en saccageant Amorium, patrie de Théophile, qui en mourut de chagrin. Ce prince protégea la religion, défendit sous des peines sévères le culte des faux dieux (qui dès lors se réfugia dans les bourgs, les campagnes : d'où le nom de pagani) ; il éleva S. Grégoire de Nazianze au siége de Constantinople (380) et fit condamner l'hérésie d'Arius. Ce culte, qu'on tourna en ridicule dès son apparition, fut établi en 1796 à Paris, et publiquement pratiqué dans plusieurs églises; mais un arrêté du 17 vendémiaire an X (21 octobre 1800) y mit fin en interdisant aux Théophilanthropes l'usage des édifices nationaux.
Il refusa en vain la couronne, se rendit à Constantinople, et força Anastase II à abdiquer, mais il abdiqua lui-même dès que Léon III se présenta comme son compétiteur, et se fit moine. THÉOPHILE, empereur d'Orient de 829 à 842, fils et successeur de Michel II, punit sévèrement les meurtriers de Léon V, montra beaucoup d'animosité contre le culte des images, et fut presque continuellement en guerre avec le calife Motassem. THÉODORE STUDITE (S.), né à Constantinople en 753, fut moine, puis abbé (795) Truffe noire du Périgord monastère de Saccudion, près de Constantinople, fut persécuté par Constantin V pour avoir refusé de communiquer avec lui depuis son divorce, se réfugia, lors de l’invasion des Barbares, au couvent de Stude (dans Constantinople même), qui ne comptait alors que douze religieux et qui, sous sa conduite, en réunit au delà de mille ; fut banni par Nicéphore pour s’être opposé aux Iconoclastes, mais réintégré sous Michel I ; trouva un nouveau persécuteur dans l’iconoclaste Léon V, qui le fit emprisonner et flageller, et fut une dernière fois rendu à la liberté par Michel II (820). Il mourut six ans après, laissant plusieurs ouvrages, dont quelques-uns ont été publiés par le P. Sirmond, Paris, 1696, in-fol.
Théodose fut aussi grand dans la paix que dans la guerre; il fit tous ses efforts pour réparer les maux de l'empire par une sage administration. Il avait accru l'empire des Visigoths de plusieurs districts des deux Aquitaines et poussé presque jusqu'à la Loire; il avait vaincu en 456 le roi suève Réchiaire; enfin il avait élevé sur le trône d'Occident Avitus, et, après avoir combattu Majorien, il avait obtenu de Ricimer la Narbonnaise Ire. En même temps, il rattachait à lui la plupart des chefs barbares, épousait la sœur de Clovis, et faisait épouser des princesses de son sang au roi des Visigoths et à plusieurs autres princes. Avant de monter sur le trône, le jeune Théodose avait déjà repoussé une invasion des Quades et des Marcomans (372) ; il combattait les Visigoths et venait de remporter sur eux un avantage, lorsque Gratien, sentant le besoin de s'adjoindre un homme capable de défendre le trône, le proclama à Sirmium empereur d'Orient, à la place de Valens qui venait de mourir, 379. Théodose acheva la soumission des Visigoths par sa conduite généreuse envers leur roi Athanaric, et s'en fit d'utiles auxiliaires.
On a de lui une Chronographie, qui va de 284 à 813, et qui a été publiée par le P. Combefis, avec une version latine du P. Goar, Paris, 1655, et réimprimée dans la collection Migne, 1863. L'Église l'hon. Halma a donné la traduction française des 2 premiers livres, Paris, 1821, avec le texte et des notes. Elle a été imprimée en grec par Robert Estienne, Paris, 1544 ; en grec et latin, Genève, 1612 ; avec les notes de Valois, Paris, 1673 ; et en partie traduite en français par le président Cousin. Le Commentaire sur Euclide a été publié à la suite de l’Euclide de Grynée, Bâle, 1538, in-fol., et souvent réimprimé; le Commentaire sur l'Almageste, qui était en 13 livres, mais dont on a perdu le IIIe et le XIe livre, ainsi que partie des Ve, Xe et XIIe, parut à la suite de l'édition princeps de Ptolémée, Bâle, 1538, in-fol. Il fut longtemps l'allié de Genséric, dont il fit son gendre, mais ensuite il se brouilla avec lui. THOMASSIN, famille de graveurs distingués des XVIIe et XVIIIe s., a produit : Philippe, né à Troyes vers la fin du XVIe s., qui fut le maître de Cochin et de Callot ; on cite de lui une Adoration des rois, une Ste Famille d'après Zuccharo, truffes et nos champignons séchés un recueil de portraits de souverains et de capitaines illustres ; - Simon Philippe, son neveu, qui a gravé la Transfiguration d'après Raphaël, S. Benoît en contemplation d'après Phil.
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